Le printemps nous endort. Les chats oublient d’attraper les souris et les hommes oublient leurs dettes. On oublie alors le lieu de son âme et notre raison s’égare. Ce n’est qu’à la vue des fleurs de colza qu’on s’éveille. Quand on entend le chant de l’alouette, on reconnaît l’existence de son âme.
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Aragon
Tout le bizarre de l’homme et ce qu’il a en lui de vagabond et d’égaré, sans doute pourrait-t-il se tenir dans ces deux syllabes : jardin