Les images d’un certain Japron traditionnel invitent irrésistiblement le voyageur à l’art du haïku. Dix-sept syllabes suffisent à tisser d’un seul vers sur lequel passent les quelques perles de deux ou trois sensations où se résume l’univers. Cela fait de la matière d’une illumination très convenable et dont n’importe quel esprit puisse se satisfaire.
Philippe Forest
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