Forest
Philippe Forest

Philippe Forest

Les images d’un certain Japron traditionnel invitent irrésistiblement le voyageur à l’art du haïku. Dix-sept syllabes suffisent à tisser d’un seul vers sur lequel passent les quelques perles de deux ou trois sensations où se résume l’univers. Cela fait de la matière d’une illumination très convenable et dont n’importe quel esprit puisse se satisfaire.

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Philippe Forest

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Le Haïku n’est l’expression d’aucune sagesse, juste une incision très légère faite dans la trame du temps, la césure nette et infime par où se laisse apercevoir la vrille d’un vertige ouvrant sur nulle part, précipitant le passage du présent puis le suspendant sur la pointe insignifiante d’un seul instant.


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